Jet Lag Songtext
[Alpha Wann - Couplet 1]
Vous êtes trop drôles les mecs quand j'entends vos textes nazes
Paye de prolétaire, attitude de proxénète là
Il faut qu'les faux négros s'éveillent car
Personne n'a l'bras assez long pour boxe 'vec Phaal
Blunt phillies entre les dents j'atteins la nébuleuse
Le temps c'est d'l'argent, j'rentabilise l'avance que j'ai sur eux
Les loups graillent et les moutons bêlent
Concerts presque tous complets
Plein d'types disent la vie est une pute,
Alors on va dire qu'nos couilles sont pleines
J'viens leur mettre leur claque, j'couche mon texte
Pour m'en mettre une j'roule mon pet
Les heures passent, j'double mon pez
J'touche mon 'seille et les foules font (yeah)
Qui vous a donné le permis d'jacter ?
Du lundi au lundi j'charbonne
Inchallah qu'ça s'termine jamais tant qu'j'avance avec mes 5 ninjas yo

[Fonky Flav - Refrain x2]
Ma mille-fa et mes soces me voient peu... charbonneur
On vit la nuit, entre flashs et sales odeurs
Et ma tête tourne comme le périph'
Jet Lag, Paris Sud, car le gent-ar s'mérite

[Sneazzy - Couplet 2]
Je n'baise que des petites pétasses branchées
J'vis dans la tentation, ma mère doute de mes fréquentations
J'traîne qu'avec le cinéma français
J'me donne moins d'cinq ans pour tout rafler, histoire que t'hallucines
J'me ramènerai seulement pour la fame, aux Victoires de la musique
J'taff dans l'tour bus pour un premier rôle (négro), une pub donc un gros cachet
21 ans j'ai pas mon BAC mais je n'suis déjà plus locataire
J'investis dans de lourds délires, à peine la majorité aux States
Ceux qui s'en sortent j'suis l'but en or, j'viens juste d'atomiser vos rêves
Un double neuf cinq est dans l'immeuble, c'est la loi du biff biff
Quoi d'neuf bitch ? On a des secrétaires, des pin-up
J'suis dans la mode et dans le design, sache qu'il n's'agit que de craris
J'te l'accorde ça fait bizarre, moi qui passais ma vie au casse-pipe
Depuis l'temps que je prie la nuit j'ai jamais arrêté d'me saucer
Mes voeux ont été exaucés, aujourd'hui j'vis une vie rapide

[Fonky Flav - Refrain x2]

(Merci à Moktar pour cettes paroles)