The Suffering Machine Songtext

Buck 65

von Secret House Against The World

The Suffering Machine Songtext
Ange noir, emporte moi

Veste et chaussure, pistolets et crayons
Pauvre garçon, de se sentir dans la peau d'un J'ai pas d'ami
Je me réveille, nerveux, Dimanche est ténébreux
Les yeux qui marchent sur le trottoir ont un regard qui me transperce
Je m'entends respirer, j'essaie de me concentrer
Good bye, Babylone, me baladant sans espoir
Je me laisse aller, chantant la complainte de celui qui n'essaie pas
L'isolement me donne envie de me jeter au feu
Je ne vis nulle part

Ange noir, emporte moi

Je cueille toutes les fleurs et éteins toutes les flammes
Les démences. Je me souviens de chacun de leur nom
Au bord du gouffre, ce n'est pas le bon endroit
Le froid et le silence me torturent
Mais les fenêtres sont opaques, et je ne devrais pas me plaindre
Je continue de creuser jusqu'à ce que je sois bien fou
Toiles d'araignée et trognons de pomme, vieux fantômes et vestiges
La femme à l'accueil me dit que je n'ai pas de message
Je ne vis nulle part

Ange noir, emporte moi

Perdu dans une brume de fantaisie et de folklore
La femme que j'aime ne veut plus entendre parler de moi
Ivre, soulagé de mes douleurs et usant le verbe violent
Un adulte confirmé réduit à l'état de gosse sans défense
Dur d'oreille, sanguin et les yeux dans le futur
Totalement perdu et libre de toute mauvaise action
Défiant les calendriers et tentant les horloges
Les arbres tombés, à l'intérieur d'une boîte vide
Je ne vis nulle part

Ange noir, emporte moi