La Ballade Des Pendus Songtext
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Je n'est tué que le temps à la maison d'arrêt, moi j'ai pris 7 ans dans du 9m carré, je fais chauffé ma bouffe dans des boîtes de conserves et l'oeil du gardien dans le judas m'observe
Jamais la moindre lettre animal qui veut naître jour et nuit accroché aux barreaux des fenêtres merci pour le tabac et le gramme de pollen je fait profil bas j'évite quelque problèmes
On se réchauffe le sang dans la froideur des corps seul Fédor se souvient de la maison des morts
sur des bouts de mirroir ont se sens mal assis tout déborde en moi malgrès la pharmacie
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas tiré vers le bas hors de l'humanité trouver ma dignité tourner vers l'au delà
Jamais la moindre lettre animal qui veut naître jour et nuit accroché aux barreaux des fenêtres merci pour le tabac et le gramme de pollen je fait profil bas j'évite quelque problèmes
On se réchauffe le sang dans la froideur des corps seul Fédor se souvient de la maison des morts
sur des bouts de mirroir ont se sens mal assis tout déborde en moi malgrès la pharmacie
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas tiré vers le bas hors de l'humanité trouver ma dignité tourner vers l'au delà
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas somnambule tu n'entens que le gla déambule mais la mort te prendras par le bras
De fer ou de chere les prisons sont les même j'en ai tellement souffert que ces chaines sois les miennent le systême est une porche sous un vers de Verlaine combien dans ces jôle se sont ouvert les veines ?
Le coin de l'oeil vide, ont danse dans nos tombes quand les masques tombent les visages sont livides, la valeur d'un homme ne se comptent qu'en ballafres, l'esprit légé un peu comme un cadavre
La porte que j'entrouvre n'est surrement pas la bonne on me briseras les ailes dans leur cafarnahomme. Déserté les parages quand le maton m'apelle cherche un peu de courage pour que j'abrège ma peine
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas tiré vers le bas hors de l'humanité trouver ma dignité tourner vers l'au delà
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas somnambule tu n'entens que le gla déambule mais la mort te prendras par le bras
Angel,
Put sad wings around me now
Protect me from this world of sin
So that we can rise again
Oh ..
Le noeud des remorts me sers la carrotide, le goût du pêché n'as plus rien d'exotique dans bas l'infatigue dans la vallé des ombres les cornet sont venus contemplé les decombres
Ecrité ma vie horné d'enlluminure c'était parfois si dûr d'avoir se mal de vivre la pensée des gens n'est plus qu'un charabia vigile en impasse mais seulement paranoïaque
Enfermé dans mon cloit qu'on me cloitre a l'écart allongé sur la pierre dans mon foutu mitard
Pas que la mort m'attire mais elle me délivre le dras autour du coup et si loin du martyre, je m'écroule ...
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas tiré vers le bas hors de l'humanité trouver ma dignité tourner vers l'au delà
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas somnambule tu n'entens que le gla déambule mais la mort te prendras par le bras
Angel,
Put sad wings around me now
Protect me from this world of sin
So that we can rise again
Oh ..
(Merci à NoémieVII pour cettes paroles)
De fer ou de chere les prisons sont les même j'en ai tellement souffert que ces chaines sois les miennent le systême est une porche sous un vers de Verlaine combien dans ces jôle se sont ouvert les veines ?
Le coin de l'oeil vide, ont danse dans nos tombes quand les masques tombent les visages sont livides, la valeur d'un homme ne se comptent qu'en ballafres, l'esprit légé un peu comme un cadavre
La porte que j'entrouvre n'est surrement pas la bonne on me briseras les ailes dans leur cafarnahomme. Déserté les parages quand le maton m'apelle cherche un peu de courage pour que j'abrège ma peine
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas tiré vers le bas hors de l'humanité trouver ma dignité tourner vers l'au delà
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas somnambule tu n'entens que le gla déambule mais la mort te prendras par le bras
Angel,
Put sad wings around me now
Protect me from this world of sin
So that we can rise again
Oh ..
Le noeud des remorts me sers la carrotide, le goût du pêché n'as plus rien d'exotique dans bas l'infatigue dans la vallé des ombres les cornet sont venus contemplé les decombres
Ecrité ma vie horné d'enlluminure c'était parfois si dûr d'avoir se mal de vivre la pensée des gens n'est plus qu'un charabia vigile en impasse mais seulement paranoïaque
Enfermé dans mon cloit qu'on me cloitre a l'écart allongé sur la pierre dans mon foutu mitard
Pas que la mort m'attire mais elle me délivre le dras autour du coup et si loin du martyre, je m'écroule ...
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas tiré vers le bas hors de l'humanité trouver ma dignité tourner vers l'au delà
Délivré des potences allant vers le trépas les nuits de silence ici n'existe pas somnambule tu n'entens que le gla déambule mais la mort te prendras par le bras
Angel,
Put sad wings around me now
Protect me from this world of sin
So that we can rise again
Oh ..
(Merci à NoémieVII pour cettes paroles)
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