Tengo John

Cityzen Spleen
Toujours les mêmes enseignes Toujours les mêmes panneaux lumineux La ville s’abandonne au plus vicieux Ouais t’en apprend plus quand tu te rapproches du milieu Putain quand est ce que je me casse d’ici Je tafferai pas jusqu’à la calvitie Le stress la fatigue y participent Faut que je décale d’ici j’ai pas ma place ici La vie m’a déçue m’a blessé Je ne supporte plus d’être stressé Je ne supporte plus d’être oppressé Par les désillusions et les décès Je suis plus qu’un solitaire, ordinaire aussi fière qu’un coq où personne est solitaire Je vois tout comme un film en noir et blanc Je dramatise trop et c’est malaisant J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Mais malheureusement je reste méfiant Le regard défiant et dédain Je le dis pas à mauvais escient Mais vos sujets de discussions sont très chiant Est ce que c’est de ma faute si vous m’ennuyez Bien plus qu’un temps pluvieux en juillet Alors que mon bonheur s’enfuyez et cela sans bruit mes larmes essuyez La parano me ronge comme des piranhas Contradictoire tel un pompier pyromane SongtexteJ’espérais stopper la spirale, mais l’autre côté m’aspira Celui qui me pousse à l’auto-destruction Bosse mon plexus et n’écoute que mes pulsions J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Ma vie est un éternel saut périlleux J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Ma vie est un éternel saut périlleux J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Ma vie est un éternel saut périlleux J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Ma vie est un éternel saut périlleux (Je suis trop sérieux) La vie est un film en noir et blanc Je dramatise trop et c’est malaisant x2 T’a entendu mon nom dans la messe T’a entendu mon son dans la caisse La nuit les billets sont polycolorés le dealer est dans la sess Ici les chiens nous sont muselés, tu joues les bouffons amuse les Ils se promènent dans la ville, ils font du bruit mais ils ont la laisse Un peu plus loin y a les poupées tu ne pourras pas les louper Le malin tu as écouté, le fruit défendu est gouté Son amour elle l’a noyé dans la drogue, elle se voyait dans la mode Mais le scénario a changé, le happy end on a coupé Everyday j’suis dans ma ville, seigneur je suis dans la file Patiemment j’attends mon heure, je bois mon DUC dans la pile En attendant je fais mes oignons, pour ma maman je fais du pognon J’suis le bébé qu’on a retrouvé dans un panier sur le Nil Entre les keufs et les drogués y a de la lumière comme à Kobe Sur les panneaux lumineux y a des images qu’on a collé Sur le téléphone du client y a des messages qu’on a codé Sur le boulevard de la morgue y a mères qui ont accolés J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Ma vie est un éternel saut périlleux J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Ma vie est un éternel saut périlleux J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Ma vie est un éternel saut périlleux J’sais que je prends les choses bien trop au sérieux J’aimerais être plus posé proposé mieux Ma vie est un éternel saut périlleux Aus Songtexte Mania