Melan

Langoustine
J’ai croisé son regard de braise aux pupilles incandescentes Ressenti le malaise qui pèse lors d’une première rencontre Éblouie, elle tantine et timide je dois l’avouer j’étais tout ouïe Pendu à son sourire souhaitant goûter ses lèvres Les mots me manquent et mon comportement étrange la gêne Émotionnellement fragile, s’hérissent les poils de ma chair Une brise glace est venue caresser sa silhouette Et si j'dis vrai j’étais comme enivré dans l’hiver Elle a posé sa main d’une manière délicate Apprivoisé mon chagrin en redistribuant les cartes À ses côtés le reste est futile La réalité n’est pas le temps se fige et pudiquement lui dis-je qu’elle me plaît gavé Du mal à respirer mon cœur s’emballe Les opposés s’attirent, des choses qui ne me ressemblent pas On pense peut être d’avoir trouvé la perle rare Une femme qui est aussi sincère que les couplets que rapait le Rat Au contact de sa peau mes malheurs s’allègent Ma main caresse sa paume ma tête tourne comme un manège J’m’hérisse quand j’la frôle j’ai effleuré sa langue Gentille est la go gros j’suis tombé sur un ange J’vais pas t’mentir j’ai la gaule oui son regard pétille À croire que j’sors de 8 ans d’taule son sourire m’ouvre l’appétit Une caresse et j’m’envole au dessus d'la ville Contre mon torse elle se colle c’est d'la folie quand ça vibre SongtexteJ'étais tout content comme un gosse avec un nouveau jouet Tout content de contempler son corps avec son nouveau jouet Elle me paraissait beaucoup trop belle pour ça Mais elle s'accaparait mon cœur, irresponsable On s'est regardé sans rien dire, sentir monter la pression Sans ne jamais lasser des sentiments que l'on affectionne Le miroir est suant l'air dans la pièce est humide Hallucinant cela fût horrible malgré son allure timide Son corps est allé dans les draps en satin de couleur sauvage Elle a des paillettes sur la queue d'cheval Et je ne souhaite pas m'attacher car ses courbes sont lancinantes Cette manière si lente de soumettre à nu en silence Chez elle c'est inné, voir même inévitable Ce côté destiné à réveiller ce qui est vital Je la vis détaller un visage tel qui frôle l’irréel La fille des mes rêves, m'a fait goûter ses lèvres Au contact de sa peau mes malheurs s’allègent Ma main caresse sa paume ma tête tourne comme un manège J’m’hérisse quand j’la frôle j’ai effleuré sa langue Gentille est la go gros j’suis tombé sur un ange J’vais pas t’mentir j’ai la gaule oui son regard pétille À croire que j’sors de 8 ans d’taule son sourire m’ouvre l’appétit Une caresse et j’m’envole au dessus d'la ville Contre mon torse elle se colle c’est d'la folie quand ça vibre Aus Songtexte Mania