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Le soleil couchant rougi l'horizon qui se font avec la nuit. Le vent s'est calmé dans la maison je ne sens battre que ma vie Comme une hirondelle elle est partie Avec l'été, laissant mon cur en hiver Elle était la plus belle des fleurs que le printemps avait su faire Le feu s'éteint doucement dessinant l'ombre de la cheminée La neige va recouvrir les champs, la montagne va se cacher Je caresse de mes doigts le souvenir de son corps qui se cambre sous mes mains Si ce n'est la solitude d'elle il ne me reste plus rien Pour l'oublier il faudra plus de temps que n'en donnera ma vie. Chaque chose ici comme mon cur gardera son empreinte pour toujours Et son rire s'est gravé dans le vent comme l'oiseau blanc de l'amour Il faudra bien des printemps pour que le ciel déchire les nuages De ma vie, une hirondelle revient toujours mais jamais ne revient l'amour Pour l'oublier il faudra plus de temps que m'en donnera ma vie Musique Il faudra bien des printemps pour que le ciel déchire les nuages De ma vie, une hirondelle revient toujours, mais jamais ne revient l'amour Pour l'oublier il faudra plus de temps que m'en donnera ma vie (Merci à couasnon marité pour cettes paroles) Aus Songtexte Mania