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Yeah, yeah, yeah Guiz' la Banquise, bande d'enfoirés Freestyle mémorable Han, l'Entourage, 2011 92 ans d'avance, évidemment Villeneuve-la-Garenne, évidemment Caravelle, évidemment Check, han J'passe mes journées à galérer avec 10 noirs sans crainte Le rap et Guizmo, mec, c'est l'histoire sans fin Le bonheur court vite, si j'l'attrape, je lui mets Les gens ne s'imaginent même pas c'que j'suis capable de fumer quand le blues m'appelle Je vais au bout de ma peine, j'vois sur les joues de ma mère que je cause ma perte Elle dit qu'la rue, la connerie et ses vices, ça passe un temps Elle a du mal a s'faire à l'idée que son fils n'est pas un tendre En plus, pour moi, elle rêvait d'une autre vie Elle voulait pas entendre : "On a attrapé votre fils A tabasser un mec dans la rue d'à té-cô Pour une histoire bidon, surement les spliffs, la déconne" BOUM ! Ma voix te frappe comme un spliff de Z Car mes phrases sont immatures comme une p'tite de 16 ans Tu croises un p'tit renoi fonsdé qui gratte la rime Y a pas d'doute, poto, c'est Guiz' le rat d'Paris Et jvais m'mettre à bicrave mes 16, là j'ai trop d'kilos J'ai pas de prof d'philo mais j'arrive au top niveau SongtexteGuizi Han, han Qu'est-ce tu croyais, négro ? Plus l'temps, plus d'pitié On s'en bats les couilles L'Entourage (Merci à JC1erSoir pour cettes paroles) Aus Songtexte Mania