Von Magnet

L´Aveu (Chanson)
Et si je crus au pouvoir de chèrir toujoursComme le fou et l´heure se croient parfois éternelsJe ne sus !que violer l´illusion avec toujours plus de zèleEt ternir nos lèvres aux goûts tièdes de l´indifférenceEt puis aprés, bien sûr, c´est le désir qui s´effaceIl ne reste plus que deux viandes sèchesCôte à côte dans une couche de glaceHantées par les sortilèges d´un autre feu, d´un autre corpsPour lequel chaque fois il faudrait nous trahirEt panteler un peu, et panteler encoreLas entrañas mias por ti las darePorque me veo apagaitoY porque tu no me camelas bienEt pourtant, croies-moi, lorsque je prêtais sermentC´était afin de vieillir pur avec toi parmi les angesMais dès l´aube blanche mes pas épousaient chaque piège inlassablementEt même les maré8ees et les vents me vouaient aux tourmentsNul ne peut vivre en arrière et défaire les noeuds du tempsEt maintenant qu´ai-je exaucé des voeux de l´enfantSi ce n´est d´exister seulement comme un homme, comme un hommeJ´avoue avoir au nom d´un ? pour la vie ? :Prié pour posséderSongtexteDéchainé le désirDéchiré par dépitMaudit le ? pour toujours ?Souffert par plaisir... et défait l´AmourJ´avoue avoir embrassé une à une chaque vertèbre de mon sort,embrassé chaque vertèbre de mon sort, comme un Homme Aus Songtexte Mania